(fanfic) la délivrance

Démarré par vegeta-x-akira, 22 Septembre 2014 à 09:50:34

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vegeta-x-akira

Je me suis inspiré de la série DBZ, mais aussi d'autres personnages comme Ryuk de death note. J'espère que ça vous plaira, car ce n'est que le début, j'attends de voir vos réactions et critique pour continuer, merci

intro : dans un univers alternatif
Akira arrivé de l'espace après, c'être échappé de l'emprise du tyran. Dans une capsule qu'elle avait volée, atterrie sur une planète inconnue nommée la terre, l'ordinateur de bord lui donna des précisions sur l'endroit, se trouvant a présent sur la terre



chapitre 01: la délivrance.
Quelque part dans l'infini de l'espace, sur une planète dévasté par deux soldats travaillant pour le compte de Frieza, le soleil se leva sur un paysage désolant, souillé par le sang des innocents, éclairant de ses rayons une terre sans vie.
Au loin, une légère brise se leva faisant volé la fumée qui s'échappa des toits des maisons dévastés. On pouvait témoigner du massacre qu'il s'y était passé, une vision de l'horreur, en perspective...
Alors que le silence régné dans la plaine à quelque centimètre de là, un veil homme gravement blessée après avoir tenté de contrer les attaques des deux ennemies, se retourna et se traîner difficilement vers la jeune femme.
Essayant de s'approcher, la victime faisait entendre des gémissements à chaque geste, son pénible déplacement sur le sol attira l'attention du lieutenant.

La jeune femme inactive au cœur froid n'y prêter guère attention à la victime, son esprit étais plongée dans ses pensées. Rêvent de liberté et de changement.
Tandis que Zarbon détourna le regard pour voir d'où venais se bruit, il vit par terre le blessé agonisant s'approcher d'Akira.

D'une voix tremblante à peine audible, il supplia la jeune femme en agrippant sa cheville et de son autre main leva au ciel pour demander de le sauver, comme une sorte d'appelle a l'aide.

Zarbon qui assisté à cette scène de supplice, fixa le visage d'Akira qui se réveilla de sa torpeur a ce moment-là.
- que va-t-elle bien faire ? Voilà ce que se demander le lieutenant en lui-même.
Debout en retrait, les bras croisés et la tête baisser, son regard effleura a peine sa silhouette macabre aux plaies béante.
N'ayant aucune pitié dans son geste ni dans son envie de porter secours, elle repoussa son pied vers l'arrière avant de lui enfoncer son talon dans la tête. Lui fracassant ainsi violemment la boite crânienne du pauvre homme.

Restant silencieux envers cet acte si cruel, une pensée mélancolique s'exprima au fond d'elle ;
Akira : et ça continue ainsi jours après jour...

De son univers, Ryuk le dieu de la mort, répondit après avoir lu dans son esprit la colère qui l'anime.
Ryuk : ils me font vraiment pitié.
Akira : qu'elle monde pourrie !
Son regard vide s'accompagna d'une lueur d'espoir, quand il était temps pour elle de réagir à ce moment-là, comme une porte ouverte vers l'inconnue, une occasion qu'elle ne manqua pas.
Devant un acte aussi cruel, elle laissa apparaître un sourire diabolique et de joie après avoir montré sa véritable valeur.
Zarbon qui l'observé avec attention, sentie une grande satisfaction et lui dira avec amusement ;

Zarbon : je savais bien qu'un jour, tu finirais par devenir comme nous !
Akira : je suis destiné à ce que je suis réellement, une grande guerrière sans pitié !

Avant de laisser un rire inquiétant illuminé son visage, la saiyan-jin entraîna celui-ci dans une sorte de délire en gagnant sa confiance.
Elle s'approcha au même moment de celui-ci doucement avec des yeux enjôleur sortant la carte de la séduction pour mieux l'amadoué. zarbon qui se sentie transporté par son appel se laissa tenter.
Akira Posa, la main sur son torse et lui demandera avec une voix envoûtante ;

Akira : si tu en avais le pouvoir, jusqu'à où irais-tu pour que je t'appartienne ?

Zarbon surpris sur l'instant, il était comme paralysé sur place, intimidé par une telle proposition indécente ne sachant pas quoi lui répondre, il répondit sans réfléchir ;

Zarbon : euh et bien, c'est difficile a dire, si je le pouvais-je donnerais ma vie pour toi et être à tes côtés.
Akira : ah oui, c'est vrai ? Et bien qu'il en soit ainsi !

Ne comprenant pas sur le moment sa réponse, l'expression de la saiyan-Jin changea brusquement reflétant à présent le visage d'un être maléfique.
Il se sentit foudroyé en quelque instant, lorsqu'elle posa la main sur sa poitrine, une attaque mortelle envahissait tout son corps, le temps de pouvoir prendre la fuite.

Il trébucha sur elle et lui chuchota au creux de l'oreille ;

Zarbon : pourquoi ?

Avant de se laisser tomber sans pouvoir arriver à se tenir, il jeta un dernier regard vers elle Tandis qu'elle le regarda d'un air fier, elle le repoussa par terre dos au sol.
Le voilà à présent immobilisé, ne sachant plus comment réagir, la guerrière s'approcha et s'agenouilla sur le côté en lui répondant ;

Akira : ne le prends pas mal, mais avec vous, je m'ennuie, adieu et passe le bonjour à ton maître !

Elle se releva et lui tourna le dos, s'éloignant un peu plus de cet endroit maudit.
Akira leva les yeux au ciel et sortie de sa poche la télécommande pour faire venir le podspace. En Attendant patiemment.
Derrière elle un cri raisonna, zarbon couché ventre au sol, tendit le bras vers sa direction;

zarbon : Akira, tu me le payeras !

Souriant a ses paroles si furtives, elle tourna la tête en arrière et lui répondit ;

Akira : il est temps pour moi de suivre un autre chemin à celui qu'il m'a étais forcé de suivre.

Lorsque au même moment son vaisseau se posant doucement, la porte s'ouvrit pour la laisser entrer ;

Akira : adieu !
zarbon: on se retrouvera quoi qu'il en soit !
Akira : ah oui, un autre jour, dans une autre vie. (rire)

La saiyan-jin s'installant confortablement dans son vaisseau, l'ordinateur de bord se mit en marche pendant que la porte se referma.
Elle indiqua la direction à prendre et détruit de sa main droite le scooter qu'elle retira de son oreille, pour éviter qu'on puisse la retrouve.
Le pod space pris de la hauteur et la lumière de l'habitacle s'éteint, tandis que la jeune femme s'endormit.
"Son voyage durera une semaine."

Pendant ce temps dans le monde des dieux de la mort, Ryuk patienta depuis bien longtemps à présent, attendant l'appel d'Akira.

Sachant qu'elle se manifesterait tôt ou tard, il resta assis durant des heures, le regard lointain fixant l'horizon d'une plaine sans intérêt qui ne le soucier guère.
Entres les gravats et le sol caillouteux, aucune vie n'existe réellement, un vaste monde sombre et désert, la lumière était à peine visible parmi les nuages.

L'ennui des autres se faisant sentir, entre dormir et se lamenter, il n'y avait pas grand-chose à faire.
Attendant qu'on vienne les chercher pour une mission, ils étaient tout condamnés à vivre ainsi comme des damnés durant l'éternité.

Pas loin de lui, deux individus joués ont un jeu pour tué le temps, un bruit d'os se fit entendre derrière lui avec une voix déçu se grattant la tête ;

1 : oh non deux crânes couchés encore...

Son partenaire de jeu qui en rit lui répondit d'une voix conviviale ;

2 : hey, hey j'ai gagné tu ne m'en veux pas trop j'espère ?

Ne répondant pas à sa question, détournant le regard vers Ryuk, il lui demanda;

1 : allez Ryuk vient faire une petite partie avec nous, tu ne veux pas jouer avec nous pour une fois ?

Le dieu de la mort concentré, lui répondit sans trop tarder ;

Ryuk : non merci

7 Jours Plus Tard
Ryuk qui se releva se prépara à partir
Ryuk : ça va faire 7 jours, bons, c'est le moment d'y retourner !
Ses compagnon surpris de l'entendre parler ainsi se retournèrent vers lui en se demandant de quoi il voulait bien parler, l'un deux dira avec un air abasourdi ;

2 : hein ?! Où es que tu comptes aller Ryuk ?!
3 : ici, tu sais où tu vas et c'est toujours aussi sinistre. (rire)
Ryuk : je n'arrive pas à retrouver ma protéger.

Ses compagnons en riaient ne pensant pas qu'il était sérieux.

2 : décidément, tu n'en rates pas une, toi !
3 : tu ne l'avais pas déjà retrouvé la dernière fois sur cette maudite planète. Tu n'as quand même pas perdu sa trace ?
2 : et tu as une idée d'où elle pourrait se trouver cette fois ?
Ryuk : dans le monde des Terriens...
Au grand étonnement, ses congénères en étais bouleversé de savoir cette drôle de nouvelle...

Descendant un long escalier, il arriva à la porte qui sépara leur monde sinistre de l'autre monde des vivants.

Skop

#1
Salut Akira-sensei.

Très humblement, j'ai tenu à corriger un peu les fautes de français qui me sautaient au visage, et à modifier sommairement, par petites touches, certains passages que je trouvais hasardeux.
J'espère que tu ne m'en voudras pas, mieux, que ça te plaira autant que j'ai pris plaisir à te lire.  :love:


Citationintro : dans un univers alternatif
Akira arriva de l'espace après s'être soustraite de l'emprise d'un tyran. Dans une capsule qu'elle avait volée, atterrie sur une planète inconnue nommée la Terre, l'ordinateur de bord lui donna des précisions sur l'endroit



chapitre 01: la délivrance.
Quelque part dans l'infini de l'espace, sur une planète dévastée par deux soldats travaillant pour le compte de Frieza, le soleil se leva sur un paysage désolé, souillé par le sang des innocents, et éclaira de ses rayons une terre sans vie.
Au loin, une légère brise se leva, faisant virevolter la fumée qui s'échappait des toits des maisons dévastées par un terrible incendie. On pouvait témoigner du massacre qu'il s'y était déroulé ; c'était une vision d'horreur...
Alors que le silence régnait dans la plaine, à quelques centimètres de là, un vieil homme gravement blessé se retourna pour se traîner difficilement vers la jeune femme.  Plus tôt, il avait tenté de contrer les attaques des deux ennemis. Tandis qu'elle peinait à s'approcher, la victime lâchait des gémissements de douleur à chacun de ses gestes. Son pénible déplacement sur le sol attira l'attention du lieutenant.

La jeune femme au cœur froid ne prêta guère d'attention à la victime. Son esprit était plongé dans ses pensées, rêvant de liberté et d'un profond changement.
Tandis que Zarbon détourna le regard pour voir d'où venait le bruit, il vit le blessé agonisant au ras du sol qui s'approchait lentement d'Akira.

D'une voix tremblante à peine audible, le vieil homme supplia Akira en l'agrippant à la cheville puis leva son autre main au ciel pour lui demander grâce.

Tandis qu'il assistait à cette supplique, Zarbon fixa le visage de la jeune femme qui venait enfin de sortir de sa torpeur.
- Que va-t-elle bien faire ? se demandait le lieutenant.
Debout, en retrait, les bras croisés et la tête baissée, son regard effleura à peine la silhouette mortifiée.
Akira ne fit preuve d'aucune pitié envers le pauvre homme. D'un geste de dédain, elle poussa son pied vers l'arrière, avant de transpercer le vieillard d'un talon dans la tête et de lui broyer violemment la boite crânienne.

Elle demeura silencieuse malgré cet acte si cruel, mais une pensée mélancolique s'exprima au fond d'elle.
- et ça continue ainsi jour après jour...

De son univers, Ryuk, le dieu de la mort, répondit après avoir lu dans son esprit la colère qui l'anime.
Ryuk : ils me font vraiment pitié.
Akira : qu'elle monde pourri !
Son regard vide s'accompagna d'une lueur d'espoir, quand il était temps pour elle de réagir à ce moment-là, comme une porte ouverte vers l'inconnue, une occasion qu'elle ne manqua pas. [vraiment mal dit]
Soudain, ses lèvres dessinèrent un sourire diabolique et joyeux, comme pour démontrer sa véritable valeur.
Zarbon qui l'observait attentivement, sentit une grande satisfaction et lui dit avec amusement :
- je savais bien qu'un jour, tu finirais par devenir comme nous !
- je suis destinée à ce que je suis réellement... une grande guerrière sans pitié !

Tandis qu'elle riait d'un air terriblement inquiétant, la saiyan-jin entraîna Zarbon dans une sorte de délire, dont le véritable but était de gagner sa confiance.
Elle s'approcha ensuite doucement de celui-ci, la mine charmeuse, ses yeux en amende invitant à la luxure pour mieux l'amadouer. Zarbon, qui se sentait transporté par son désir, se laissa tenter.
Akira posa la main sur le torse de Zarbon avec délicatesse, puis serra ses deux seins tout contre le bras du bellâtre à la peau chèvrefeuille avant de lui susurrer ces mots d'une voix envoûtante :
- si tu en avais le pouvoir, jusqu'où irais-tu pour que je t'appartienne ?

Zarbon, passablement surpris sur l'instant, était comme paralysé. La tentatrice avait réussi à l'intimider avec cette indécente proposition. Ne sachant quoi répondre, il bredouilla sans même y réfléchir :
- Euh... hmmm... hé bien... ah ! c'est difficile à dire... Si je le pouvais, je donnerais ma vie pour être à tes côtés.
- Ah oui, c'est vrai ?! dit-elle candidement. Hé bien qu'il en soit ainsi !

L'expression enchanteur de la saiyan-Jin changea brusquement du tout au tout. Zarbon se sentit foudroyé lorsqu'elle lui extirpa le cœur de sa poitrine. Il trébucha sur elle et lui chuchota au creux de l'oreille ;
- P... pourquoi ?

Avant de se laisser tomber, il jeta un dernier regard vers elle, elle qui le dévisageait d'un air empli de fierté. La guerrière s'agenouilla sur le côté en lui répondant ;
- ne le prends pas mal, mais avec vous, je m'ennuie, adieu et passe le bonjour à ton maître !

Elle se releva et lui tourna les talons, s'éloignant un peu plus de cet endroit maudit, puis elle leva les yeux au ciel avant de sortir la télécommande de sa poche pour faire venir le podspace. Derrière elle, un cri roque raisonna. Zarbon, couché ventre au sol, tendit fébrilement le bras dans sa direction.
- Akira, tu me le payeras !

Souriant a ses paroles si futiles, elle se retourna et lui répondit :
- Pauvre chose... A présent, je vais suivre mon propre chemin.

Le vaisseau se posa, la porte s'ouvrit pour la laisser entrer.
- Adieu !
- On se retrouvera !
- En enfer peut-être... conclut-elle avant de s'enorgueillir d'un rire sardonique.

La saiyan-jin s'installa confortablement dans la capsule qui se referma tandis que l'ordinateur de bord se mit en marche. Elle indiqua la direction à prendre sur l'écran tactile et retira le scooter de son oreille avant de le réduire en morceaux, pour éviter qu'on puisse la retrouver. Le podspace prit alors de la hauteur et la lumière de l'habitacle s'éteignit tandis que la jeune femme s'endormit d'un air satisfait.

"Son voyage durera une semaine."

[...]