Glénat annonce que la version numérique (digitale) de Dragon Ball Super devrait bientôt sortir en français.
Si vous préférez lire vos mangas en version version numérique (ou digitale), ou si simplement pour des raisons pratiques, vous ne souhaitez pas vous encombrer de livres, réjouissez-vous : Glénat, annonce travailler sur la version numérique de Dragon Ball Super chez nous. L’éditeur de Dragon Ball en français annonce en effet, dans sa dernière newsletter de juin, être en train de finaliser la signature des contrats pour pouvoir commercialiser les tomes de Dragon Ball Super en version numérique :
Bonjour, je voulais savoir si vous aviez des informations concernant une possible sortie de Dragon Ball Super sur liseuse (Kindle), car malheureusement mes étagères ne sont pas extensibles 🙂 Merci d’avance.
La contractualisation de la version numérique de Dragon Ball Super est actuellement en cours. Nous espérons pouvoir vous proposer ce titre en version dématérialisée très bientôt.
Notre avis sur la version numérique
Sur DB-Z.com, nous achetons nos tomes de Dragon Ball Super en Japonais à la fois en version numérique sur l’application japonaise officielle Jump Book Store, et en version papier en librairie japonaise. A titre personnel, j’aime bien lire la version papier quand je suis chez moi pour plusieurs raisons :
- C’est plus reposant à lire pour les yeux que la version numérique,
- C’est plus léger qu’une tablette
- On apprécie le toucher du papier
- La facilité de « naviguer » entre les pages du livre pour retrouver une page
Toutefois, je dois avouer que j’utilise beaucoup plus souvent la version numérique pour une raison toute bête : la mobilité. Elle est aussi très agréable à lire et à utiliser. Je possède ma bibliothèque de manga (en japonais) via l’application officielle de Shueisha au Japon : Jump Book Store, et je lis généralement mes mangas dans les transports en commun, en voyage, ou n’importe où, sans avoir à transporter de livre. La qualité est excellente, toutefois la résolution des pages est vite limitée si vous zoomez un peu trop. C’est sans doute pour que les images ne pèsent pas trop lourd, et donc rapide à télécharger.
Mais sinon, rien à dire : c’est vraiment très pratique ! Voici quelques autres images :
Version dématérialisée = économies ?
Dans cette même newsletter de juin, Glénat répond également à la question des économies que devraient représenter la dématérialisation des mangas :
Si je peux me permettre (je me trompe peut-être) mais un tome au format numérique ne devrait-il pas être encore moins cher ? Il n’y a pas de frais de transport, pas de frais de papier ou d’encre et d’impression, juste la part du revendeur (le libraire Izneo, Kobo ou autre) qui fait payer ses services, avec en plus peut-être un espace de stockage (je sais que le stockage numérique peut coûter cher)… Mais tout de même, pourquoi ce tarif, surtout sur des titres comme Ranma 1/2 !? Merci.
Nous comprenons vos interrogations concernant les titres au format numérique. Les publications dématérialisées sont soumises à des impératifs similaires aux titres papiers, notamment au niveau des droits d’auteurs et de la rémunération du revendeur. De plus, comme vous l’avez souligné, les fichiers numériques engendrent des frais de stockage mais aussi des frais de production. Pour ce qui concerne spécifiquement la série Ranma ½ et son prix de commercialisation, il s’agit des conditions contractuelles négociées avec l’éditeur.
